Samedi 9 novembre 2024
16h, devant la Pierre sur le parvis d’Unimail
16h00 - Début de la commémoration
Négociations salariales : les maçons genevois se mobilisent et refusent les cacahuètes que leur lancent les patrons
La réforme du financement des soins (EFAS), adoptée par le Parlement en 2023, confère aux assurances-maladies un pouvoir démesuré, fera encore plus exploser les primes, et menace gravement tant les conditions de travail dans les institutions de santé que l’accès à des soins de qualité pour toutes et tous. Le 24 novembre prochain, il faut rejeter massivement cette réforme.
Retrouvez les argumentaires du SIT pour chaque objet.
Les travailleurs et travailleuses exigent que l’État internalise le nettoyage et intègre le personnel œuvrant sur ses sites.
Le SIT soutient l’initiative "Pour l’adhésion de la Suisse au Traité des Nations Unies sur l’interdiction des armes nucléaires" lancée par l’Alliance pour l’interdiction des armes nucléaires, dont font notamment partie le Groupe pour une Suisse sans Armée et le réseau Sortir du nucléaire).
Le droit à la nationalité actuel exclut certains groupes pendant une longue période, souvent même pendant des générations. Or une collectivité qui exclut à long terme une partie de ses membres perd sa légitimité démocratique. Les travailleurs-euses devraient avoir la possibilité de donner leur avis sur des objets qui concernent directement leurs conditions de travail et d’existence. Cette initiative en est le moyen : le droit de participer aux élections et aux votations, le droit à un séjour sûr et inconditionnel et surtout le droit d’être reconnu-e comme membre à part entière de la communauté.
Une délégation des maçons genevois interpelle les patrons à la veille de l’ouverture des négations salariales : « combien êtes-vous prêts à mettre dans notre panier cette année » ?
Des militant-e-s ont lancé une pétition pour dénoncer une nouvelle CCT au rabais signée par le syndicat Syna et l’Association genevoise des architectes (AGA)
Signez maintenant la pétition pour défendre le salaire minimum à Genève, que la mise en œuvre de la "motion Ettlin" ne trahisse pas le vote des 81’371 électeurs-trices genevois-es.